â–º Voici 3 schémas représentant visuellement les principes fondamentale de l’entraînement :
A/ L’entraînement hivernale
A la reprise de l’entraînement, après la coupure hivernale, la condition physique est moyenne, voire faible s’il n’y a pas eu un travail d’entretien durant cette période. Le travail essentiel va consister à développer les qualités d’endurance, et donc l’amélioration de la consommation d’oxygène. Le travail en intensité sera réduit au minimum. Le coureur va augmenter son
< réservoir d’énergie > en capacité.
B/ Période des compétitions
Principe fondamentale de l’entraînement : période des compétitions : Période d’affûtage
Après avoir développé ses qualités d’endurance au maximum (consommation d’oxygène élevée), le coureur va devoir à l’approche de son objectif, faire un travail d’intensité en puissance aérobie : PA / PMA qui va lui permettre de repousser son seuil anaérobie (Seuil de tolérance à l’acide lactique) le plus haut possible. On pourra dire qu’il aura un < réservoir d’énergie > le plus grand possible.
C/ Cas de surentraînement en intensité
Principe fondamentale de l’entraînement : cas de surentraînement
Cet exemple montre que le coureur a fait un excès de travail en intensité ce qui a provoqué une stagnation voire une régression de sa consommation d’oxygène. A l’inverse, son seuil anaérobie est très élevé. Résultat le coureur ne peut pas progresser, sa récupération est très mauvaise à cause de son faible niveau d’entraînement en endurance et il risque de se retrouver rapidement en surentraînement.
Ex : cas d’un coureur qui reprend l’entraînement hivernal en retard et qui essaye de suivre les meilleurs sans avoir fait au préalable un entraînement en endurance. Autre cas pendant la période des nocturnes, beaucoup de courses et peu de travail en endurance a l’entraînement.
Le prochain chapitre traite des qualités physiques en cyclisme